Axel Goldsztejn
Ostéopathe D.O
25 rue Paul Bert
92120 - Montrouge Ostéopathe Montrouge
07.60.49.11.06 Ostéopathe 92
L’ostéopathie est une médecine manuelle qui permet, par une compréhension globale du patient, de prévenir, diagnostiquer et traiter les dysfonctions relatifs à la mobilité des tissus du corps, susceptibles d’en altérer son état de santé.
L’ostéopathe, horloger du corps, utilise ses mains pour diagnostiquer et traiter son patient. Il évalue l’état des différents systèmes du corps humain par des tests de mobilité articulaire, viscérale et crânienne.
Chacune de ces sphères ne pouvant être traité de manière indépendante, l’ostéopathe, par ses connaissances anatomiques, physiologiques et biomécaniques, établit des relations afin d’isoler l’origine primaire de votre douleur.
En effet, la manifestation d’une douleur peut-être la conséquence d’un dysfonctionnement primaire qui doit être traité pour guérir la symptomatologie.
L’ostéopathe a donc une vision globale de son patient, le considérant dans son ensemble .
Par des techniques manuelles adaptées, Il s’engage à traiter les problèmes fonctionnels de ses
patients. Il occupe une place majeur dans la prévention de l’apparition de pathologie et dans le
maintient d’un bon état de santé.
Fondée au cour du XIXème siècle par Andrew Taylor Still, l’ostéopathie repose sur 4
grands principes :


L’unité du corps :
L’ostéopathe à une vision globale du corps, il considère les différentes partie du corps en inter-dépendances les unes aux autres. Chaque patient est donc une unité constitué de différents tissus (muscles, tendons, articulation, nerfs...) indissociables les uns des autres. « Si l’on décompose l’organisme vivant en isolant ses diverses parties, ce n’est que pour la facilité de l’analyse expérimentale, et non point pour les concevoir séparément. » Claude Bernard, Médecin et physiologiste français 1813-1878
L’auto-régulation :
Le corps est une formidable « machine » capable de s’auto-réguler en s’adaptant aux
contraintes environnementales. L’ostéopathe, lors d’un dérèglement du corps, à pour
objectif de favoriser ce mécanisme d’adaptation, en redonnant son équilibre au corps.
La structure gouverne la fonction et inversement :
La perte de mobilité des articulations, des muscles, des ligaments, des tendons ou des
viscères peut entraîner un déséquilibre de l’état de santé. Par exemple, un blocage
mécanique de vertèbres thoraciques peut provoquer des difficultés respiratoires pouvant
être améliorées par la libération des structures verrouillées. A l’inverse une gêne respiratoire
peut entraîner un verrouillage thoracique qui entretient le mal-être.
La règle de l’artère est suprême :
Si les liquides sanguins, lymphatiques et les informations nerveuses circulent librement,
alors le corps a les outils pour rétablir l’état de santé (renvoie au principe d’auto-régulation).