L'alimentation : le cœur de notre santé.

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En Occident, le régime alimentaire d’une grande partie de la population est trop acide.

Attention, la notion d’acidité est ici définit par l’effet de l’alimentation sur le pH (potentiel hydrogène) sanguin (le pH permet d’obtenir la valeur (de 0 à 14) d’un milieu le définissant alors comme un milieu acide (< 7), neutre (= 7) ou basique (>7)), et  non par le gout de l’aliment consommé.

Le ph sanguin doit être compris entre 7,35 et 7,45.

En effet notre organisme est en permanence à la recherche d’un équilibre acido-basique pour maintenir l’ensemble de ces fonctions physiologiques.

 

Nos habitudes alimentaires sont telles que l’acidose (un excès d’acides dans l’organisme) 

chronique liée à l’alimentation concerne presque tout le monde. 

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Équilibre acido-basique : 

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L’équilibre acido-basique est fondamental pour notre santé. Plusieurs facteurs participent à la

régulation de la balance acido-basique :

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• l’alimentation.

• la qualité et la quantité de boissons.

• la respiration.

• la transpiration.

• l’activité physique et psycho-émotionnelle.

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Il faut toutefois bien faire la différence entre l’acidité dans l’estomac (ou pH de l’estomac) et le pH des fluides (urine, salive, sang veineux) et tissus corporelles (tissu conjonctif, articulation, muscle). 

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Les conséquences d’un excès d’acidité dans notre organisme :

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L’excès d’acidité force notre organisme à puiser dans ses propres réserves de minéraux alcalins (substances permettant d’augmenter le pH donc « basifier » le milieu) afin de neutraliser cet excés (os, dents, cartilages etc..). Notre organisme utilise ses réserves afin de tamponner l’acidité c’est-à-dire permettre au milieu une diminution de son acidité.

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Les conséquences d’un corps en acidose sont problématiques :

• fatigue physique chronique.

• diminution de la production d’énergie des cellules du corps.

• diminution des réserves en oxygène disponible pour le fonctionnement des cellules.

• terrain inflammatoire.

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Un terrain inflammatoire peut entraîner de nombreuses pathologies ou favoriser leur survenue :

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• Au niveau articulaire: ostéoporose, rhumatisme, goutte, arthrite, arthrose.

• Au niveau digestif: reflux gastrique acide, brûlure d’estomac, ulcère, brûlure rectale, calcul rénal

et vésiculaire.

• Au niveau neurologique: sciatique, hernie discale.

• Au niveau ORL: bronchite, sinusite, otite.

• Au niveau cutané: varice, eczéma.

• Au niveau buccal: aphte, herpès, fissure au coin des lèvres, inflammation des gencives, carie.

• Etat général: frilosité, nervosité, dépression, manque d’énergie, fatigue constante, crampe, difficulté de récupération suite à l’effort, maux de tête, migraine.

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Comment mesurer l'acidité de notre corps ?

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Pour savoir si votre corps est en acidose, il est possible d’effectuer un test du pH urinaire. Un pH moyen inférieur à 6,5 traduit un excès d’acide dans l’organisme.

Consulter votre médecin traitant si vous souhaiter réaliser ce test, il vous donnera toutes les informations nécessaires.

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Evidemment, nous ne possédons pas tous les mêmes besoins, le sportifs n’aura pas la même alimentation que le retraité.

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Cependant une alimentation dite « idéale » comporte 65% à 70% d’aliments alcalinisants et 30% à 35% d’aliments acidifiants par volume. 

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Quelle alimentation adoptée ? 

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Vous trouverez ci-dessous une liste des aliments acidifiants et alcanisants.

 

Attention le degré d’alcalinité ou d’acidité d’un aliment est variable. Il dépend de la variété de l’aliment, du sol dans lequel il est cultivé et du moment de cueillette.

Pour la nourriture animale le pH varie selon le type d’élevage du bétail (nourrît au grain ou aux herbes).

 

Tableau des aliments alcanisants (cliquez sur le tableau ci-dessous pour le télécharger)

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Tableau des aliments acidifiants (cliquez sur le tableau ci-dessous pour le télécharger)

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Attention !  Cette article est une sensibilisation à notre alimentation, et cette liste une note d’information et non un absolu.

Avant de commencer un régime alimentaire, il est indispensable d’en parler avec son médecin.